Le 20 juin 2019, ils sont venus en nombre, sa familles, ses amis et camarades
Olivier Tournay
Son neveu, trésorier de la section de St-Quentin du PCF
Conseiller municipal et de la communauté d’agglo à Saint-Quentin
Comment résumer en quelques lignes la vie d’un homme ? En évoquant nos souvenirs communs avec les camarades, un maitre mot s’est imposé pour évoquer Jean-Luc, c’est celui de militant. Aussi je vais essayer de retracer quelques bribes de son parcours.
Jean-Luc a mis son militantisme au service de ses idéaux, le communisme, et au service des autres. Il n’y a rien d’inné là dedans. Cela se forge au fil du temps.
D’abord, comme le dit le film, si « Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes », Jean-Luc oui. Fils d’Emile et de Paulette, deux figures à leur manière du parti communiste; et frère de Daniel et de Claude avec qui il militera bien entendu. Ils avaient une vie simple. Une vie parfois rude. Il est arrivé qu’Emile soit payé en poulets parce qu’il n’y avait pas de salaire qui rentrait. Vie ordinaire d’une culture ouvrière.
Ses premiers pas de militant actif, il les entame à la Jeunesse Communiste, avec ses camarades Armand Carpentier, Christian Pierret, Mortelette, Francis Plé, et bien d’autres encore…
Son engagement prend corps viscéralement lorsqu’il est embauché comme ouvrier à 18 ans chez Nysam, filiale de la multinationale Fiat, qui produisait de la fibre textile artificielle.
Nysam, c’est 25 ans de boulot, avant que cette entreprise de 250 salariés, pourtant prospère, ne ferme définitivement ses portes, au profit d’une délocalisation, dans le vaste mouvement des fusions d’entreprises qui a détruit toute l’activité économique textile du secteur, laissant sur son chemin une région dévastée par le chômage.
Nysam, c’était un travail pénible : les 3/8, posté sur 7 jours. Un temps de travail hebdomadaire de 56 heures. Pour Jean-Luc, au début, ça allait, mais à partir de 30 ans, ça devenait vraiment difficile. Le travail casse. L’homme n’est pas fait pour travailler la nuit disait-il.
Nysam, c’était aussi l’apprentissage de la solidarité. Il est entré dans l’usine en même temps que son ami Jeannot. C’était une entreprise familiale », tout le monde se connaissait. Avec les autres salariés, essentiellement issus de l’immigration (Portugal, Maroc…), ils fêtaient le Beaujolais, Noël, l’Aïd, « il y avait toujours une occasion » de se retrouver. Jean-Luc était aussi présent pour les aider dans leurs démarches administratives.
Nysam, c’était aussi l’organisation des luttes collectives :
Délégué syndical CGT pendant ces vingt-cinq années, il a mené des luttes avec ses collègues pour obtenir les 35 heures en 1983 « bien avant la loi Aubry » ou le treizième mois.
Pour gagner ces droits, pas d’autre choix que de faire grève, mais pas n’importe comment. Il ne fallait pas endommager les machines. L’outil de travail est à préserver : il constitue le statut de travailleur dont Jean-Luc était fier.
Mais Nysam, c’est aussi des drames humains
Les délégués syndicaux, dont il faisait partie, étaient conscients des fusions d’entreprises en France et en Europe. L’industrie textile était particulièrement touchée. Après des mois de rumeurs et d’atermoiements, ils ont été convoqués un soir par le patron qui leur apprend la fermeture définitive. Bien sur qu’’il était faux que l’usine fermait pour cause de déficit. Juste pas assez rentable. S’ancre ce sentiment chez Jean-Luc et ses collègues de n’avoir été que des pions, des chiffres à barrer dans le cadre d’un licenciement de masse.
Ils ont alors mené la lutte pour leur outil de travail. Ils n’ont pas su le garder, mais « c’était une belle lutte » dira Jean-Luc. Reste la dignité de s’être battu.
Cette fermeture, c’est l’annonce inéluctable de drames pour les salariés de cette boite : endettement, saisie, expulsion, chômage de longue durée, maladie, décès. Seulement six ont été reclassés. Le capitalisme qu’il combattait farouchement, Jean-Luc ne le connaissait que trop. Il l’a côtoyé intimement, dramatiquement. Il en a vu les ravages et les a subi lui-même.
Le jour de l’annonce de la fermeture de l’usine, son frère, mon père, Claude, mourait des suites d’une longue maladie. Deux chemins qui se brisent au même moment.
Jean-Luc militera bien entendu en dehors de l’usine. Il sera membre de l’Union Locale CGT de Saint-Quentin, membre du comité de chômeur, membre du comité fédéral sur plusieurs décennies, secrétaire départemental à l’orga de la Fédération du PCF de l’Aisne. Mais autant le dire tout de suite, ce n’était pas le plus grand assidu qui soit aux réunions. Il leur préférait nettement le terrain, par exemple faire un collage avec Nono ou Belge plutôt que d’être assis sur une chaise. Ou bien encore faire partie de l’opération BIS. Avec une équipe, vous aviez « subtilisé » pour le dire pudiquement, un fichier de données dans l’agence d’interim. Cela avait eu un retentissement national car il avait été prouvé l’étendu de l’emploi précaire à l’époque. Il est vrai aussi que vous avez été obligés de restituer ces documents comme des bourgeois de Calais, pour reprendre l’expression de Georges.
Cela ne l’empêchera pas d’assumer les fonctions de secrétaire de section du PCF de Saint-Quentin pendant 17 ans, et ce dans une période politique très compliquée. Son peu d’appétence pour les réunions ne l’empêcheront pas non plus de siéger en qualité d’élu du conseil régional de Picardie pendant 6 ans. Il a assumé ses responsabilités. Tout élu qu’il était, il n’a rien changé à sa façon d’être. Par exemple, il allait voir sa mère Paulette tous les jours, lui faisait les courses, la cuisine.
Militer, il le fera bien entendu auprès de toi Mauricette, Momo, son épouse. Toi aussi tu as connu la dure réalité du métier d’ouvrier : toute une carrière chez Hazmeyer comme câbleuse. Vous avez eu 43 ans de vie commune, chacun avec son caractère « affirmé », mais toujours là l’un pour l’autre. 43 ans à accueillir à bras ouverts les copains qui passaient chez vous. Que de repas, de réveillons qui n’en finissaient jamais de refaire le monde… le socialisme, le vrai, ensemble vous y croyiez. Et c’est parce que vous croyiez, que vous avez lutté, que nous, les plus jeunes, avons appris à vos côtés, que nous avons construit ensemble… c’est pour cela qu’on y croit encore et que l’on continuera.
Tu vas laisser un vide immense, une profonde tristesse mais tu vas laisser aussi la force et le courage dont tu as fait preuve auprès de nous si nombreux… Notre hommage sera celui du combat.
Secrétaire de la section de St-Quentin du PCF
Au nom du Parti Communiste Français
Voilà, on y est ! Je n’aurais jamais pensé devoir écrire ses lignes. Incompréhension devant ce départ brutal. Personne n’y était préparé. J’ai l’impression qu’il est toujours là, qu’il va franchir la porte du 22 avec son grand sourire, en disant « alors ! ». Après les mots d’Olivier, INÉVITABLEMENT, il y aura sans doute des « redites », Jean Luc ne faisait qu’un ! Le PCF. Même la vie à la maison avec « Momo » souvent c’était le Parti, les réunions de cellule c’était à la maison, l’organisation de porte à porte dans le quartier, le muguet, les diffusions de notre journal, des tracts, ils étaient à deux dans tous les combats. Momo, je sais à quel point tu as mal, comme tu l’as dit hier. Oui « le salaud, il nous a lâché ». Sache que nous serons toujours auprès de toi, du mieux que nous pourrons. Un grand homme nous a quitté, grand par le cœur, grand par les combats qu’il a menés, il a su donner toute sa noblesse à l’engagement « politique ».
C’est en 1994, au décès de son frère Claude, qu’une délégation du bureau de section, dont Georges Varenne et Serge Casier à l’époque secrétaire de section par intérim, tu te souviens Serge, ira le solliciter chez lui pour qu’il pose sa candidature au poste de 1er secrétaire des communistes de Saint Quentin. Jean Luc dans un premier temps refusera, il ne voulait pas endosser ce rôle de premier responsable du Parti :« je suis un militant de base, un syndicaliste, je n’aime pas les réunions et les discours, ce n’est pas pour moi tout ça ! La seule responsabilité que j’accepte c’est les « murs ».
Secrétaire de la cellule Marcel Cachin au Faubourg d’Isle, et Momo pour la cellule Victor Jara à Neuville, leur vie de luttes se passait dans l’entreprise et dans la cellule, sur le terrain. Et comme il aimait à le raconter, les réunions, ce n’était pas son fort, parfois Claude était obligé de venir le chercher. Mais, par contre, à Saint Quentin les murs étaient toujours rouges avec ses coéquipiers Nono et S’Belge, il était indissociable des collages et des distributions. Par nécessité « pour le Parti, pour la lutte », Jean Luc finira par accepter et deviendra 1er secrétaire de la section, c’est aussi à cette période que j’entre au bureau. A cette période, notre camarade Serge Carrier était trésorier de section.
Par la suite, Jean Luc deviendra aussi secrétaire départemental à l’organisation pour la Fédération de l’Aisne. Secrétaire de la Fédération de l’Aisne, ce n’était pas rien dans ce département où le parti à compté jusqu’à 7000 adhérents. Infatigable, il faisait le tour des sections du nord au sud, participait à toutes les assemblées générales, gérait la remise des cartes, avec une tenue du fichier, semaine par semaine, section par section. Ses discours il les travaillait avec conviction et force, sans langue de bois. Ses ennemis, il les avait identifiés : c’était le capitalisme, les partons. Son camp : celui des exploités. Sa guerre : celle pour la classe ouvrière et contre les injustices. De Sarko, à Hollande et aujourd’hui Macron. il a combattu tous les systèmes qui nous cassent et nous broient. Dans l’Aisne, chaque secrétaire de section l’avait régulièrement au téléphone. L’orga, c’est une question fondamentale pour notre Parti, il savait toute la portée de son rôle. « On peut avoir les meilleures positions politiques qui soient, mais sans organisation, sans les adhérents, ça ne vaut rien ». Un dirigeant communiste hors norme, un vrai.
La section en 1995 s’écroule : le décès de Claude, la perte du député que nous avions eu pendant 20 ans, la perte de la mairie, mais aussi le contexte national et international du PCF avaient fait le vide. La machine est enrayée, il n’y avait plus de moyens financiers, cela va de pair. Au cours de toutes ses premières années de mandat, ce fut une question centrale pour maintenir notre siège, la maison des communistes, d’autant que la fédération avait déjà fait une tentative pour essayer de faire vendre le siège. Nous enchaînions les initiatives, nous nous usions à la tâche et à trop peu. Sous un air de faux calme, Jean Luc était anxieux en permanence, au vu des responsabilités qui lui incombaient, le fait de les avoir acceptées et comme toute chose qu’il faisait, il en assumait toujours l’entière responsabilité.
Personnellement, sa situation, leur situation, car avec Momo il partageait tout, même les galères, devint très difficile. Licencié de Nysam, ses droits au chômage se sont terminés. Il faut jongler avec les difficultés de la vie et devant les camarades ne rien dire, ne pas se plaindre et c’est ce qu’il faisait. Nous le savions. Nous essayerons pendant un temps à la section, sans aucune aide, hormis celle des adhérents, de créer un petit contrat, mais qu’il nous poussera à arrêter : la section n’en avait plus les moyens. Il mettra toujours l’intérêt du Parti au premier plan. Avec son parcours, Nysam etc., les possibilités de retrouver un emploi étaient quasiment nulles. C’est d’ailleurs dans cette situation en 2004 qu’il deviendra conseiller régional, seul élu en France demandeur d’emploi avec zéro euro par mois jusqu’en 2010. Puis il finira sa carrière professionnelle pendant deux ans comme ouvrier aux espaces verts à la com. d’agglo : il avait enfin une carrière complète pour obtenir sa retraite !
Pendant toutes ces années, nous prendrons le chemin difficile de la reconstruction du Parti à Saint-Quentin. J’apprends beaucoup à ces côtés, comment écouter et pas seulement ceux qui savent s’exprimer en réunion, mais aussi et surtout ceux qui font la force de notre organisation : les adhérents avec la démocratie en fil conducteur. Aller voir les camarades chez eux lors de remises de cartes ou autre, discuter, les entendre personnellement, puis porter leurs voix : c’était ses principes de fonctionnement. Les années passent, militant au quotidien, nous nous retrouvions tous les jours dans notre deuxième maison, au 22 rue de la pomme rouge. Il sera DE TOUS LES COMBATS, dont aussi celui de la reconstruction de la CNL, avec toutes les bagarres contre les expulsions, les aides aux plus fragiles, aux plus démunis. Je me souviendrai d’une fois particulièrement où nous avions passé outre le trésorier pour aller nous- mêmes au magasin faire un plein de courses à une famille dans le besoin. Ebahis, si je peux le dire comme ça, le regard de camarades de la section quand ils ont vu le ticket de caisse avec des couches, du lait. Nous n’en avions pas les moyens, Il fallait nous freiner !
il a été aussi beaucoup présent pour moi, ma famille, seule avec mes trois enfants. Avec des horaires de travail compliqués, c’est lui à l’école qui était sur les papiers d’inscription. Il était plus que mon camarade, c’était mon ami, mon frère. Sa gentillesse, son cœur immense, faisaient de lui un mec qu’on suivait. Il aimait la vie par-dessus tout, ses amis, ses camarades.
Il était capable de grands coups de gueule, ici, chacun s’en souviendra. Mais il savait surtout écouter, agir, organiser, chanter aussi… Un camarade tenace, droit dans ses bottes et qui ne lâchait jamais rien. Ses positions politiques, il se les avait forgées, confortées dans les luttes ouvrières. Les manifs, il les a toutes faites. Je me souviens particulièrement de celle à Paris avec son camion bleu et mes enfants sur le toît, drapeau en main. Les combats, furent nombreux et nous les menions tous sur des positions de classe. Pour défendre nos acquis et gagner de nouveaux droits, contre les licenciements, pour la paix, pour la Palestine où il écrira de nombreuses motions. Je me souviens particulièrement aussi du combat contre la constitution européenne que nous avions gagné en 2005. Cette Europe du capital qu’il a toujours combattu, et pour laquelle il n’a jamais pensé un seul instant que celle-ci puisse être réformable.
Il recevra, au nom de nos positions collectives, débattues, décidées ensemble avec tous les communistes, de nombreux coups. Des coups qui lui feront bien du mal. En 2008 c’est lui qui me poussera lors du congrès du Parti à accepter d’être sur la liste du conseil national conduite par Emmanuel Dang-Tran. Je fus élue membre du CN. Nous pouvions faire entendre notre voix au niveau national. Car oui, déjà à cette époque, il défendait une autre orientation politique pour le PCF, loin de toute compromission, d’arrangement d’appareils. C’est à cette époque aussi que la section avec Jean Luc à sa tête, prendra toute sa place dans notre réseau national, pour la reconstruction d’un parti de classe inscrit dans les luttes. Je profite de cet instant pour remercier chaleureusement notre camarade Emmanuel Dang-Tran, membre du conseil national du PCF, présent à nos côtés. Merci d’être là Manu, Jean Luc t’appréciait beaucoup.
Devant toutes ces difficulté, jamais il ne lâcha. Le Parti communiste pour lui ne devait pas s’effacer, se diluer, il devait rester notre outil de lutte, celui de la classe ouvrière : un parti anticapitaliste qui ne renie aucun de ses fondements. Il croyait profondément au respect des adhérents, à la démocratie. Il savait que l’avenir de notre Parti était déterminant pour les luttes, pour le peuple. Des nouvelles générations sont arrivées à la section, un mélange d’anciens et de jeunes, une vraie force. La section est repartie, s’est développée, devenant aujourd’hui la plus grosse section communiste du département, avec la sortie régulière de notre journal « L’Eveil » et des milliers de tracts diffusés. Nous en sommes fiers, il y a plus que contribué par les graines semées toute ces années. Plus nos positions étaient claires et plus nous nous sommes renforcés, aujourd’hui cette dynamique perdure et s’amplifie.
En 2013, au congrès il me demandera de prendre le relais, mais évidement, il ne nous lâchera pas. Il sera mon soutien en continu. Toujours membre du bureau, il y a à peine un mois, il avait reprit l’initiative de relancer au Faubourg d’Isle une assemblée populaire de cellule, au plus près du terrain, ce qu’il aimait. Il participait activement à la vie de la section, jusqu’à ces derniers temps où il était fatigué. Il aidera aussi les camarades à la création de 2 nouvelles sections à Gauchy, puis au Val d’Origny. A chaque fois, à chaque questionnement dans nos orientations, nos choix stratégiques, comme pour les municipales mais aussi à chaque attaque subie, il était là, il a été un soutien fort et inconditionnel.
Pour son neveu Olivier, conseiller municipal mais aussi trésorier de section, il a toujours eu une grande admiration, pour lui les combats de son père Emile, de son frère Claude, Oliver les portait avec brio.
Nous avons le cœur lourd, très lourd, notre camarade, notre ami, mon frère n’est plus. Dans ce triste moment où nous sommes tous rassemblés, j’aimerais tant vous dire à chacun un mot de réconfort, vous qui avez tant compté pour lui, mais cela est impossible. A Momo, à toute sa famille, à Alain, Olivier, Marie-Claire, Pierrot toujours là à leurs côtés, à ses amis et camarades. Au nom des sections de Saint Quentin, Gauchy, Val d’Origny, des membres du bureau, au nom du Parti communiste français, je vous présente toutes nos condoléances !
Je sais une chose aujourd’hui, je sais ce qu’il souhaiterait s’il était encore là. C’est de ne pas avoir fait tout cela pour rien. Que notre Parti, celui du marteau et de la faucille, se développe encore et encore.
Notre 42ème fête des libertés se déroulera les 6 et 7 juillet, cette fête qui lui était si chère, cette fête qu’il a monté de ses mains pendant des décennies, comme pour l’Huma, cette fête où chacun se souviendra du stand «Cachin », le stand portugais qu’il tenait avec ces sardines roses, les acras de morue et son vin pétillant. Plus que jamais cette fête doit être une belle, une grande réussite. C’est le plus beau des hommages que nous pouvons lui rendre. Prendre les flambeaux de la lutte tous ensemble, reconstruire, fortifier le PCF.
C’était le sens de sa vie, nous continuerons ! Surtout pas adieu Jean Luc, mais au revoir mon camarade, tu fais partie de nous !
REMERCIEMENTS :
Mauricette Tournay, son épouse, sa famille et la section de st Quentin du PCF remercient très chaleureusement tous ceux qui ont adressé des marques de soutien pour les obsèques de Jean Luc, il sera toujours là. Merci
INVITATION
Dimanche 7 juillet à 10h30 au Stade plein dans le cadre de la 42ième Fête des Libertés, nous lui dédierons cette fête avec les interventions de tous ceux qui l’on connue aux différentes époques. Amis et camarades venez lui rendre le beau des hommages !
Jeunesses communistes, Nysam, CGT,chômage région, CNL, PCF…
Chacun pourra s’exprimer dans la simplicité, faites nous un retour pour l’organisation des interventions.
1 Commentaire
Notre ami nous a quitté, trop tôt, je me ferais un plaisir de le voir à la fête en juillet,on boira un coup à sa mémoire.bisous volants mon pote et condoléances à Momo et ses proches